Redonner après avoir repris sa vie en main

Jodi loads her car up with groceries to deliver to people who can't get to a food bank
by The Salvation Army in Canada
Share:

À Noël et tout au long de l’année, Jodi redonne à l’Armée du Salut. Reconnaissante de l’aide qu’elle a reçue lorsqu’elle éprouvait des difficultés, Jodi tend aujourd’hui la main à ceux qui se trouvent dans une situation analogue.

« Lorsque j’ai appris l’existence du programme de Noël de l’Armée du Salut, je me suis inscrite pour recevoir de la nourriture et un cadeau pour mon fils. Le soutien alimentaire m’a été d’un grand secours. En plus de mon panier de denrées, j’ai reçu de la viande congelée et un bon pour de la pizza », dit Jodi.

Après sa séparation, Jodi et son fils adolescent ont commencé une nouvelle vie. Les difficultés se sont rapidement multipliées jusqu’à ce qu’il devienne évident que Jodi avait besoin d’aide. Elle s’est alors tournée vers l’Armée du Salut de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse.

« Je me suis retrouvée seule avec mon fils qui souffre de problèmes de santé mentale. Une amie m’a suggéré de me rendre dans une banque alimentaire. »

Malgré le fait que son fils était presque un adulte, son état demandait beaucoup d’attention. Ensemble, ils ont fait face à de nombreux défis et appris à s’adapter à leur nouveau mode de vie. Jodi a été en mesure de conserver son emploi à temps plein, mais ses maigres revenus étaient insuffisants pour subvenir à tous leurs besoins.

Aujourd’hui, Jodi et son fils vivent bien. C’est pourquoi, à Noël et tout au long de l’année, elle donne des sacs de denrées non périssables à l’Armée du Salut afin d’aider, à son tour, tous ceux qui traversent des moments difficiles.

Jodi comprend très bien ce que ressentent les personnes qui ont du mal à se procurer de la nourriture. Elle fait donc tout ce qu’elle peut pour donner en retour. Son objectif est d’en faire encore plus pour tendre la main à son prochain.

« Je contribue en aidant l’Armée du Salut à distribuer des paniers de denrées aux personnes vulnérables. Un grand nombre d’entre elles ne peuvent pas aller dans les banques alimentaires en raison, entre autres, de la pandémie de COVID-19. En tant que parent, je comprends ce que c’est que de ne pas pouvoir donner à nos enfants la meilleure vie possible. »