12 jours d’action pour mettre fin à la violence envers les femmes

L’Abri d’espoir est un refuge de l’Armée du Salut qui accueille des femmes en situation de vulnérabilité, avec ou sans enfants. Chaque année, du 25 novembre au 6 décembre, nous participons au mouvement québécois de sensibilisation pour les 12 jours d’action contre les violences faites aux femmes. Cette année, nous partageons l’histoire de dix femmes soutenues par L’Abri d’espoir qui ont survécu à la violence conjugale. Bientôt, ces femmes auront un logement permanent, subventionné, dans un nouvel immeuble dédié entièrement aux femmes, où elles continueront d’être soutenues par L’Abri d’espoir.
L’histoire de Jing (nom fictif)
Jing, une jeune femme asiatique dans la trentaine, est arrivée seule à Montréal en 2013, sans aucun réseau de soutien. Suite à son mariage quelques années plus tard, elle a été victimes des épisodes répétés de violence conjugale, la laissant isolée avec son jeune enfant et dépouillée de tout ce qu’elle possédait. Dans cette situation précaire, L’Abri d’espoir est intervenu pour offrir à Jing et son enfant non seulement un hébergement, mais aussi un soutien essentiel pour l’aider à surmonter cette situation difficile. Aujourd’hui, Jing fait partie des douze résidentes de L’Abri d’espoir qui vont bénéficier, ce mois de décembre, d’un logement permanent, marquant une étape cruciale dans son cheminement vers l’autonomie et la stabilité.
L’histoire de Diane (nom fictif)
Diane, une jeune femme québécoise dans la quarantaine, est née au Québec. Elle a eu deux enfants avec son conjoint. Pendant plusieurs années, elle a été victime d’inceste et de violence conjugale la laissant dans la rue en perdant tout ce qu’elle possédait, y compris la garde de ses enfants. Dans cette situation précaire, L’Abri d’espoir est intervenu pour offrir à Diane non seulement un hébergement, mais aussi un soutien essentiel pour l’aider à surmonter cette situation difficile. Aujourd’hui, Diane fait partie des douze résidentes de L’Abri d’espoir qui vont bénéficier, ce mois de décembre, d’un logement permanent, où elle pourra obtenir la garde partagée de l’un de ses enfants, ce qui marquera une étape cruciale dans son cheminement vers l’autonomie et la stabilité.
L’hitoire d’Enise (nom fictif)
Enise vient des Caraïbes. Mère de deux jeunes enfants, elle subissait de la violence psychologique et économique de la part de son conjoint. Bien qu’ils aient tous deux un emploi, celui-ci a toujours insisté pour qu’Enise prenne en charge les finances du ménage, négligeant ainsi ses propres responsabilités. Avec le temps, son comportement est devenu de plus en plus violent, tant envers Enise qu’envers les enfants. Face à cette situation, elle a pris la décision de chercher un refuge sécuritaire pour elle et ses enfants.
Dans cette situation difficile, L’Abri d’espoir a accueilli Enise et ses enfants en leur non seulement un hébergement, mais aussi un soutien essentiel essentiel pour les aider à surmonter cette situation difficile. Aujourd’hui, Enise, accompagnée de ses enfants, fait partie des douze résidentes de L’Abri d’espoir qui vont bénéficier, ce mois de décembre, d’un logement permanent, marquant une étape cruciale dans son cheminement vers l’autonomie et la stabilité.
L’histoire de Kahone (nom fictif)
Originaire d’Asie, Kahone est entrée au Canada en 2023 avec son mari et un enfant en bas âge, après une dizaine d’années de vie commune dans leur pays d’origine. Victime de violence verbale, physique et psychologique de la part de son mari, Kahone vivait sous la menace constante d’être séparée de son enfant. Cette menace s’est malheureusement concrétisée lorsque son mari s’est enfui avec l’enfant, retournant dans leur pays d’origine et laissant Kahone dans un profond chagrin et désespoir.
Face à cette situation déchirante, L’Abri d’espoir est intervenu pour offrir à Kahone non seulement un hébergement, mais aussi un soutien essentiel pour apaiser sa souffrance. Aujourd’hui, Kahone fait partie des douze résidentes de L’Abri d’espoir qui bénéficieront, ce mois de décembre, d’un logement permanent, marquant une étape cruciale dans son cheminement vers l’autonomie et la stabilité.
L’histoire d’Ariane (nom fictif)
Ariane, une Canadienne dans la quarantaine, est mère de trois enfants. Victime de violence conjugale, elle a dû quitter son conjoint et chercher un refuge sécuritaire pour s’abriter avec son plus jeune enfant.
Dans cette situation difficile, L’Abri d’espoir a accueilli Ariane et son enfant en leur offrant non seulement un hébergement, mais aussi un soutien essentiel pour les aider à surmonter cette épreuve. Aujourd’hui, Ariane fait partie des douze résidentes de L’Abri d’espoir qui vont bénéficier, ce mois de décembre, d’un logement permanent, marquant une étape cruciale dans son cheminement vers l’autonomie et la stabilité.
L’histoire de Nabiha (nom fictif)

Neira, d’origine asiatique, est arrivée seule au Canada en 2011. Victime de violence conjugale, elle a été expulsée de son domicile par son conjoint alors qu’elle était enceinte. Se retrouvant sans ressources financières ni emploi, Neira a pris la courageuse décision de chercher un refuge sûr pour elle-même et son futur enfant.
Dans cette situation difficile, L’Abri d’espoir a accueilli Niera en lui offrant un hébergement et un soutien essentiel pour l’aider dans sa situation. Aujourd’hui, Niera fait partie des douze résidentes de L’Abri d’espoir qui vont bénéficier, ce mois de décembre, d’un logement permanent, marquant une étape cruciale dans son cheminement vers l’autonomie et la reprise du pouvoir sur sa vie.